C'était génial de vivre
de Marceline Loridan-Ivens Découvrez le poignant dernier récit de Marceline Loridan-Ivens, survivante d'Auschwitz-Birkenau, qui partage son histoire unique et les raisons de son retour.
Date de parution: 10/06/2021 |
Auteur: Marceline Loridan-Ivens |
Éditeur: Editions Les Arènes |
Distributeur: INTERFORUM |
Rayon: Histoire de France - Seconde guerre mondiale - Déportation |
Nombre de pages: 156 |
Dimensions: 18.9 cm x 13.6 cm x 1.9 cm |
Poids (en g): 240 |
Ean: 9791037502766 |
Isbn: 979-10-375-0276-6 |
Format: Grand Format |
En savoir plus sur le livre C'était génial de vivre :
Dans les camps, certains survivent tandis que d'autres périssent. Certains reviennent, d'autres non. Personne ne comprend pourquoi. C'est une énigme céleste. Il doit y avoir des anges, j'en suis convaincue. J'ai toujours senti la présence de deux anges à mes côtés. Ils sont toujours là. Pourquoi moi ? Peut-être parce que j'avais une mission : revenir pour témoigner de ce que d'autres ne diraient pas, pour écrire ce que personne n'oserait écrire. Je ne sais pas. Ce n'est pas de mon fait. Quelques semaines avant de mourir, Marceline Loridan-Ivens, déportée à Auschwitz-Birkenau à l'âge de quinze ans dans le même convoi que Simone Veil, s'est confiée à David Teboul et Isabelle Wekstein-Steg. Voici son ultime témoignage.
Avis de la librairie ECCE TERRA sur le livre C'était génial de vivre :
"C'était génial de vivre" est un témoignage bouleversant et poignant de Marceline Loridan-Ivens, une survivante d'Auschwitz-Birkenau. À travers ses confidences recueillies par David Teboul et Isabelle Wekstein-Steg, Marceline nous livre un récit empreint d'émotion et de réflexion sur la survie et la mémoire. Son écriture est à la fois simple et profonde, nous plongeant dans l'intimité de ses pensées et de ses expériences. Ce livre est une lecture essentielle pour comprendre le poids de l'histoire et l'importance de la transmission des souvenirs.
A propos de l'auteur Marceline Loridan-Ivens :
Marcelline Rozenberg, née de parents juifs polonais émigrés en France en 1919, grandit dans une famille où son père devient un petit industriel dans le secteur textile. Au début de la Seconde Guerre mondiale, son père achète un château dans le Vaucluse. C'est là qu'elle et son père sont arrêtés par la Gestapo et la Milice. Déportée à Birkenau en avril 1944, Marcelline survit à l'horreur des camps.
Après la guerre, elle épouse Francis Loridan, un ingénieur, et bien qu'ils divorcent par la suite, elle conserve son nom de famille. Engagée politiquement, Marcelline adhère au Parti Communiste Français (PCF) avant de le quitter. Durant la guerre d'Algérie, elle devient "porteuse de valises", soutenant activement le FLN. Elle signe également le manifeste des 343, militant pour la libéralisation de l'avortement.
Marcelline se marie ensuite au cinéaste Joris Ivens et réalise avec lui des documentaires glorifiant le régime maoïste. En 2015, elle accède à une notoriété plus large grâce à la publication de "Et tu n'es pas revenu", coécrit avec Judith Perrignon, un ouvrage poignant qui touche profondément le grand public.
Après la guerre, elle épouse Francis Loridan, un ingénieur, et bien qu'ils divorcent par la suite, elle conserve son nom de famille. Engagée politiquement, Marcelline adhère au Parti Communiste Français (PCF) avant de le quitter. Durant la guerre d'Algérie, elle devient "porteuse de valises", soutenant activement le FLN. Elle signe également le manifeste des 343, militant pour la libéralisation de l'avortement.
Marcelline se marie ensuite au cinéaste Joris Ivens et réalise avec lui des documentaires glorifiant le régime maoïste. En 2015, elle accède à une notoriété plus large grâce à la publication de "Et tu n'es pas revenu", coécrit avec Judith Perrignon, un ouvrage poignant qui touche profondément le grand public.